je ne voulais pas vraiment dévoiler trop de choses privées de ma vie, mais je ressent le besoin, le besoin d'écrire cet article, comme j'avait commencé a en écrire un livre...
Il y a tres longtemps déjà, je frequentais , tous les dimanche , la patinoire de l'Hotel de Ville. Je m'y rendais donc toutes les semaine avec "ma soeur", Lili ( qui en réalité porte le même prénom que moi!) . Le patinage, c'était ma passion. Sur la glace je m'évadais vers d'autres horizons, je glissais vers l'infini et ma lame frolait les étoiles. Quand a mon coeur, je le sentait battre comme si il allait se décrocher dans la seconde qui suivait.
Nous patinions des heures avec Lili , des heures de bonheur, sans lassitude, jamais.
Cette patinoire, je la connaissait par coeur et nous étions quelques fideles a se croiser tous les dimanches, un sourire, un regard, un bonjour discret , une passion commune. Comme tous les dimanches,il y avait ce groupe de jeunes hommes, 5 ou 6, je ne sais plus tres bien , ils étaient doués, drôles, charmants.
Un de ces apres midis, nous devions dégager la piste pour son finedel ravalement. Je me suis retrouvé sérée entre tout ce beau monde , quand je croisa le regrad d'un des garçons dont je vous parlais. Pénetrant, intenses, ravageur. Je suis sous le charme. De suite apres que la foulle se jetta a nouveau sur la piste, je fis part a Lili de celui qui venait de m'envouter. Il faut que je lui parle, il faut que je le retrouve, il faut , tout simplement...
Ne le voyant pas je me remis a patiner de plus belles, des ailles m'avaient poussées en l'éspace de quelques seconde. Chute en plein vol. Trout noir. Je me précipite sue les sieges hors de la patinoire pour reprendre mes ésprits. Je n'ai rien de cassé, je n'ai mal nul part, et lorsque je m'aprrete a me relancé sur la glace une voix masculine m'interpella.
-Ca va, j't'ai pas fait mal?
Mon dieux, il là, devant moi. C'est donc lui qui est la cause de ce qu'il vien de m'arriver. Je ne sais pas quoi lui dire, je suis pétrifier. Un petit "non", voila le seule mot qui sortira de ma bouche tremblante.
Coup de foudre? Oui, coup de foudre. Le premier.
-Moi c'est Alex, me dit-il si sur de lui. On y retourne? .
Puis je me retrouvis, sur la glace, avec celui que je califié comme " mon prince charmant " . Les minutes où il me pris la main pour m'entrainer de plus belles , m'ont parrues des heures, je me sentait libre, bien. Puis un peu plus tard il me présenta a sa bande d'amis et Lili tombera d'ailleurs sous le charme de l'un d'eux.
Nous déscidons tous ensemble d'aller faire un virée dans le quartier où nous nous trouvions, je ne lachais pas mon prince, il ne quittait pas non plus.
Les jours et les semaines s'enchaineront de cette maniere, nous sommes amis, complices, inseparables. Je ne fait que pensé a lui, je le chante, je l'écris , je le dessine. Je ne perds pas un insatant a ces côtés. Oui, c'est sûr, je l'aime. Puis , un apres midi , je recois un coup de téléphone de sa part.
- je suis chez Benoit ( son meilleur ami), si tu peu venir ça serai cool, j'aimerai bien te voir.
Si je peu venir? Mais j'irai au bout du monde pour toi si je le pouvais....
Une fois arrivé sur place, Benoit sur l'ordinateur de la chambre, je me retrouvi seule dans le salon avec Alex.
Tendre. Je savait ce moment precis que mon prince allait m'offrir notre premier baiser. Il le fit. Encore. Encore. Je sens encore ces bras m'envelopper et ces main me frollées. Puis il me pris la main et m'entrainna vers la chambre. Sur le lit superposé , était installé une couverture qui recouvrait celui ci. Alex m'expliqua que c'était pour faire des "accarium ". Tres bien si ça l'ammuse! Il ce glissa dans le lit, moi a mon tour, il me proposa de fumer, non tres peu pour moi, et m'enllassa alors tendrement. Puis la suite et simple. Il me fera l'amour, me penetrera tendrement, et me fera jouir pour la premiere fois. Je me sens aimé. Je l'aime. Je suis "amoureuse". Mon premier Amour c'est lui.
Plus tard, j'apprendrai que notre premiere fois, celle que je pensais si belle a éte filmée a notre inssue, par Benoit qui avait enclanché la "web cam". J'était salie, mais toujours aussi éprise d'Alex. Je pardonne, je suibie.
Nous passeront plusieur mois fabuleux avant que notre relations ne ce dégrade.
Je l'aimait de plus en plus, je le desirais chaque jour comme une folle, je lui aurais donné ma vie, comme je lui avais offert mon corps, je ne vivais plus que par lui, nuit et jour.
Mais voila, Alex devenait de plus en plus désagréable, égris. Il ne me regardait plus comme avant, il n'était en fait, plus du tout comme avant. Il criait, il hurlait, il me fesait presque peur. Je ne lui avais pourtant rien fait, moi j'était la même la même par contre, je subissais.
Puis un jour, il me donna mon premier coup. Ma premiere giffle. Ma premiere humiliation. Je decide alors de prendre mes affaires que j'avais laissé chez lui, partir et ne plus revenir. Il me barra le passage, ne voulait pas me laisser sortir, il me frappait du regard, j'ai vu ma derniere heure arrivé. LOrsque je réussi a m'échappais je pleurais toute les larmes de mon corps; Mais Pourquoi? Pourquoi celui que j'aime m'a-t-il violenté comme ça?
Ca ne sera pas la derniere fois, j'ai accepter de le revoir et il fit la meme choses, a maintes reprises. Je me baladais un coquard a l'oeil droit, un pognet blaissé et un âme détruite. Il me suplira de lui pardonner, ces yeux remplis de larmes. Je ne lui ai pas cédé, jamais. Et pourtant dieux sais que je l'aimais plus fort que tout. Il n'a jamais su m'expliquer ce qui l'avais poussé a faire ces gestes, ce qui lui était passé par la tête, il m'avait juste dis qu'il m'aimais, je l'ai cru, puis je l'ai fuis.
Je n'ai pas gardé de traces physique de ce que m'avais fait subir Alex, mais je ne pourrai jamais l'oublier. J'ai encore mal parfois. Je pense a la lui souvent. Qu'est-il devenu? Ou est-il?
Malgres tout, il m'aura beaucoup apris et beaucoup apporté au départ. Il fut mon premeir Amour, mon premier souvenir. Adieux Alexandre, j'ai tourné depuis longtemps une page définitive sur notre histoire, tu as aussi tué et detruit beaucoup en moi.
Oui j'ai été une jeune femme battue.
J'avais a peine 15 ans.